10/28/2015

"Matufia" en Anika entre libros

Matufia

Ficha realizada por: María Martín
Matufia
Título: Matufia
Título Original: (Matufia, 2014)
Autor: Rodolfo Santullo
Editorial: Lapsus Calami Colección: Novela Negra


Copyright:
© 2014, Lapsus Calami
Edición: 1ª Edición: Diciembre 2014
ISBN: 9788415786535
Tapa: Blanda
Etiquetas: corrupción, humor, investigación, fútbol, literatura mexicana, literatura uruguaya, thriller, sicarios, chantajes, periodistas, Novela negra
Nº de páginas: 308

Argumento:

Néstor Serrano es un periodista deportivo amante del conflicto y la bronca. Incapaz de quedarse callado cuando tiene entre sus manos alguna historia oscura, su personalidad le ha llevado a enfrentarse a los más poderosos del fútbol uruguayo. Cuando una noche cualquiera Serrano es atacado a punta de pistola en la puerta de su casa, se pone en marcha un peligroso juego de busca y captura plagada de situaciones insólitas, errores de novato que sólo podrá resolverse gracias a la cabezonería extrema de los implicados.

Opinión:


Tomando como base un hecho real del mundo del periodismo deportivo uruguayo (el ataque que el periodista deportivo Ricardo Gabito sufrió en 2003), Rodolfo Santullo construye en "Matufia" una novela negra con sabor a thriller cinematográfico que engancha desde la primera escena. Organizada en 46 capítulos que funcionan como 46 escenas de una película (que fue la intención original del autor), la novela desprende energía y un gran conocimiento de técnicas narrativas que funcionan como un reloj bien engrasado en la gran pantalla y en las páginas impresas.
El acertado uso del flashback para contar la historia nos permite observar la evolución de los personajes principales (Néstor Serrano y El Marlon) al tiempo que descubrimos su implicación en los hechos y cómo estos provocan un giro de 180 grados en sus vidas. Al tiempo que nos sumerge en el desarrollo de la historia con la precisión de un cirujano.
La novela no contiene grandes descripciones ni monólogos cargados de contenido moral, pero cumple perfectamente la función de mostrarnos cómo son los protagonistas y cómo se suceden las decisiones, en muchos casos desastrosas, que desencadenan la acción. Los capítulos cortos, centrados cada uno de ellos en una acción concreta, dan al libro una estructura casi perfecta, y la escritura de Santullo, libre de grandes adjetivos y alardes, de los que por otro lado es muy capaz, transmiten la urgencia por hacer algo y aprovechar las oportunidades que se presentan.
"Matufia" es, sin lugar a dudas, un libro de lectura muy fácil, casi compulsiva, que no es, ni mucho menos, sinónimo de un libro fácil de escribir. Más bien todo lo contrario. La capacidad de síntesis, el autocontrol para conseguir escenas cortas pero llenas de acción, las descripciones en dos frases de personajes y escenarios hacen de este un libro de muy difícil escritura.
No es tampoco fácil hablar de lo que habla Santullo sin caer en el dramatismo (al fin y al cabo se trata de un atentado contra la vida de alguien), o sin intentar ofrecer explicaciones o maquillar los hechos. Y él no lo hace. Algunas de las decisiones que se exponen en sus 308 páginas son, sin discusión, de todo punto absurdas, pero el autor consigue que, dentro de la psicología de los personajes, nos parezcan completamente plausibles, sin que nos paremos a cuestionarlas ni las juzguemos como un truco del escritor para impactar. Las carcajadas, eso sí, no nos las quita nadie.
En definitiva, "Matufia" es una lectura altamente recomendable incluso para aquellos que no gustan de las novelas negras, gracias al buen arte del autor, que cumple con la premisa de los buenos escritores de dejarnos con ganas de más. De mucho más.
María Martín

10/22/2015

"Dengue" en krinein.com

Les Humanos : Dengue

/ Critique - écrit par plienard, le 23/09/2015 Temps de lecture estimé de l'article : 4 minute(s) - laisser un commentaire
Les humanoïdes associés sont partis conquérir le contient américain et ils nous proposent un petit aperçu des talents qu’ils y ont trouvé. C’est torturé et pessimiste à souhait. A lire si vous n’êtes pas déprimé.

Dengue – note : 6.5/10

Après les zombies, les vampires, voilà que débarquent les moustiques chez les humanoïdes associés. Avec un titre comme Dengue, l’album qui nous intéresse est on ne peut plus clair. Il va être question de moustiques et d’épidémie.


@Humanoïdes associés édition 2015.

Pour ceux qui ne le savent pas encore, la dengue est une maladie virale transmise par les moustiques – les charmantes petites bêtes ! – et dont les symptômes principaux ont de type grippal (mais une très grosse grippe) qui peut être mortel.
Il n’y a donc pas de faute d’orthographe dans le titre, même si cette histoire apparaît comme un peu dingue par moment.
Imaginez une invasion de moustiques, au point que le ciel s’obscurcit définitivement, avec des morts par milliers, et un monde devenu apocalyptique. Et malgré cette ambiance de fin du monde, le sergent Pronzini continue de faire son travail et d’enquêter sur les morts suspectes. C’est le cas de celle de Nestor Golochea, professeur d’entomologie, chercheur de l’IDED – institut d’étude sur les diptères – qui travaillait sur le recherche d’un vaccin contre le dengue. Et ce que va découvrir le sergent est complètement ... dingue !
A notre époque où l’épidémie de chikungunya a largement frappé les esprits, que la dengue est la maladie virale la plus répandue au monde avec 40% de la population mondiale exposée, à la sortie des vacances où bon nombre d’entre nous a du se protéger de ces petites bêtes piquantes, le tout  associé au réchauffement climatique, cette bande dessinée– si vous me permettez cette expression – fait mouche !
Au-delà e son traitement fantastique, il y est aussi question de manipulations de la population et il en ressort un grand pessimisme général dont cet agent de police est l’incarnation. Son côté blasé et cynique n’est pas sans rappeler le personnage de Benoit Sokal, Canardo. D’un point de vue plus général, les personnages sont assez retords et cyniques.
C’est un polar loir avec une ambiance fantastique, signé par le mexicain Rodolfo Santullo pour le scénario et l’uruguayen Matias Bergara pour le dessin et les couleurs. Déjà édité en 2012 en Uruguay, les humanos nous le propose en format comics dans une rentré dédié à ce format et à des albums déjà édités de l’autre côté de l’Atlantique.

 http://bd.krinein.com/bd-humano-dengue-great-pacific-bedlam/

10/20/2015

"Dengue" en Nebular Store (para lectores en francés, oh la lá!)

Dengue : l'Uruguay attaque la France !

Dengue
Rodolfo Santullo & Matias Bergara
Humanoïdes associés
Août 2015

Rodolfo Santullo est un scénariste uruguayen trentenaire, originaire du Mexique, auteur de plus d'une dizaine de romans graphiques. Il écrit chaque mois une rubrique dans le fanzine argentin Fiero, et est le responsable des éditions Belerofonte, spécialisés en comics.
Ce récit, originellement publié en 2012, a paru cette année, simultanément aux USA et en France.

...Un futur proche, dans le Rio de la plata, estuaire créé par le rio Paraná et le rio Uruguay. Une épidémie de Dengue, due à une invasion de moustique porteurs, ravage la population depuis quelques mois déjà. Le ciel est devenu noir de moustiques, l'air est tropical, et les habitants se sont réfugiés dans leurs habitations, équipées pour les plus chanceux de purificateurs d'air.
Au dehors, les corps des malchanceux piqués s'amoncellent…

Le sergent Prozini de la police locale, est face au corps d'un homme retrouvé avec une blessure par balle dans une décharge, chose qui est devenue rare, vue le peu de personnes s'aventurant à l'extérieur.
L'enquête l'amène à rencontrer le professeur Ramiro Gomensoro, responsable de l'institut luttant contre l"'épidémie, dont la victime était un collègue.
Quelques jours plus tard, la télé fait apparaître sur l'écran un jeune homme, muni d'ailes, et ses comparses : des monstres mi hommes mi moustiques. Il s'agit d'humains ayant subit une modification génétique, après avoir contracté par trois reprises la maladie.
Mais "le Prince", tel qu'il se fait appeler, possède quelques arguments : en échange d'une place pour ses semblables au sein de la société, celui-ci propose de repousser la menace des moustiques. Il semble en effet avoir un pouvoir sur les insectes, qui refluent soudainement.

Cette nouvelle donne et la cohabitation entre ces créatures et les humains encore vivant rend la situation très complexe, d'autant plus que le gouvernement en lien avec la plupart des industries toutes puissantes, verrait d'un mauvais œil la perte des avantages liés à la lutte contre l'épidémie.
Une lutte sans pitié va donc s'engager.

P.8 © Humanoides associés/Santullo/Bergara

...Le public français n'avait pas encore eu l'occasion de lire Santullo dans sa langue natale, et il est fort à parier qu'avec ce premier album, et j'espère, le succès qui en résultera, nous aurons l'occasion d'autres traductions.
Car ce récit de soft science-fiction fait directement allusion à nos peurs, nos symptômes sociétaux et nos préoccupations écologiques et médicales actuelles.
Les épidémies de type Dengue sont en plein essor*, et il est donc très intéressant de lire un récit basé sur la suite, aussi fictionnelle qu'elle soit, donnée à cette menace.

Le scénario de l'auteur allie polar traditionnel, avec enquête et rebondissements à caractères mafieux, et réflexions de type scientifique et politique. L'évocation d'un état presque totalitaire, la paranoïa des populations, le rôle négatif joué par les médias, et la toute puissances des sociétés responsables normalement du traitement de la maladie, en sont les principaux éléments.
L'apparition des monstres et de leur leader, qui s'allient au final avec le (bon) flic et une journaliste "star" moins véreuse qu'il n'y parait (Bonilla), amène le côté SF sympa de l'histoire, et on se plaît à penser à des ambiances à la District 9 (Film de Neil Blomkpampf.)

Le découpage est efficace, et le dessin de Matia Bergara, auteur habitant Montevideo, (Uruguay) un peu plus jeune que son collègue, possède le charme de publications françaises indépendantes vues par exemple au sein du label 619 de Ankama. La couverture magnifique, au glaçage recouvrant sur un fond mat une scène très dynamique avec nos deux héros, met grandement celui-ci en valeur.
Les 92 pages de ce récit de science-fiction haletant se lisent avec avidité du début à la fin, et confèrent à nouveau aux 
Humanoides associés le statut d'un éditeur qui sait nous faire découvrir de bons auteurs étrangers de SF, comme à leur grande époque.


(*) Selon les chiffres 2007 de l'OMS, chaque année environ dans le monde, 500 000 cas de formes hémorragiques de la Dengue, dont un grand nombre, chez les enfants le plus souvent, impliquent une hospitalisation. Environ 2,5 % des patients meurent et sans traitement adapté, le taux de létalité de la dengue hémorragique peut dépasser 20 %. Des équipes bien formées et équipées peuvent abaisser ce taux à moins de 1 %1.
(…) L'essor récent (2012) de cette pandémie est expliquée par l'extension de l'aire de distribution des vecteurs (Aedes aegypti notamment, bien adapté aux villes) et des 4 types de virus impliqués. La mondialisation des échanges et l'urbanisation croissante, et peut-être le dérèglement climatique facilitent la circulation de ces virus1. (Wikipedia)

Blog des éditions Belerofonte : http://grupobelerofonte.blogspot.fr/

Une chronique de Dengue, (en espagnole) sur clubdecatadores

Le blog de Matias : http://matiasberg.tumblr.com/
et une interview du dessinateur : http://www.humano.com/blog/le-blog-des-humanos/id/4175#.VgGMBM6IPJw

Lire un extrait sur le site des Humano 

10/14/2015

"Firebunny", "Causas Perdidas", "Osoconalas" y "Piedra, papel o tijera" en ExLibris de Búsqueda

 
“Firebunny”, Pablo Fernández.
Grupo Belerofonte, 54 páginas, 150 pesos.

Ponpon es un conejo tierno, enamorado, bastante empalagoso. Vive en una pradera con su coneja Fifi y pasan las noches abrazados mirando la luna. Son conejos de cuento de hadas. Hasta que los capturan.
Bajo la lupa de un doctor malévolo, Ponpon y Fifi terminan en un laboratorio, encerrados en jaulas y junto a otros conejos destinados a la experimentación. Ahí Ponpon conoce el infierno, empieza a endurecerse, a mostrar su costado más conflictivo y a manifestar ansias de rebelión.
Un compañero de celda le advierte sobre su enemigo: “No es un científico cualquiera, es Piedrabuena ‘el Aniquilador’, conejo que se lleva, conejo que no regresa”. Pero él sigue enfrascado en la lucha: “Es hora de poner el destino en nuestras manos. Es hora de romper las cadenas. ¡Podemos ser esclavos o podemos ser conejitos!”. Y se decide a dar el primer paso en su carrera por convertirse en superhéroe. Así nace Firebunny.

 
Causas perdidas”, Federico Baert, Carlos Aón y Lara Lee.
Grupo Belerofonte, 64 páginas, 250 pesos.


Con el entusiasmo profesional a flor de piel, el periodista Facundo Botero se instala en una pensión ubicada en un suburbio oscuro, con el fin de empezar a trabajar en un semanario casi en decadencia. Pero el ambiente lo corrompe. Hay drogas, prostitución, personajes esencialmente agresivos y un sistema desigual que lo termina de hundir. Pierde el trabajo. Pierde todo.
“Al lector que necesita que le cuenten historias donde el sexo no manche y las drogas sean cool, que quiere parábolas edificantes o relatos con moraleja, vale aclararle que acá va a pasar mal, que mejor salga buscando otros destinos, quizás más tranquilizadores y políticamente correctos”, escribe el historietista argentino Max Aguirre en el prólogo.

 
“Osoconalas”, Lucrecia de León.
Grupo Belerofonte y Estuario Editora, 98 páginas, 400 pesos.

Hay situaciones, frases, pensamientos, movimientos, ideas, actitudes que son —y serán siempre— en esencia femeninos. “Osoconalas” es eso: un libro que captura esa esencia femenina de la que a veces nos mofamos, otras padecemos y otras disfrutamos. Con eso alcanza y sobra para que Oso, su personaje principal —una niña adulta o una adulta niña que cuenta con un par de alas que le permiten hacer y decir lo que quiera—, sea encantador, adorable, honesto y, por sobre todo, muy real (aunque tenga alas). El libro reúne las historietas que la diseñadora Lucrecia de León publicó durante años en su blog. Es un recorrido humorístico, tierno y reflexivo por la mente de un personaje que empieza siendo una niña y va creciendo a medida que pasan las páginas.

 
“Piedra, papel o tijera”, Alejandro Farias e ilustraciones de Jozz.
Mojito Colectivo Editorial, 64 páginas, 250 pesos.  


Piedra, papel o tijera. Pancho elige papel; Zeta pierde con la piedra. Entonces le toca a él salir a entregar un pedido. Se pone el chaleco de la pizzería, se sube a la moto y arranca. Un accidente a medio camino hace que pierda la nota con la dirección del cliente, pero alguna referencia le queda en la mente. Llega al edificio, sube por ascensor y toca la puerta del apartamento que le indica su instinto. Golpea varias veces, pero nadie responde. La puerta está entornada y entra. Escucha ruidos desde el cuarto del fondo, se acerca y a partir de ahí su vida se vuelve caótica. Porque adentro del baño encuentra a un hombre muerto y en una de las habitaciones, a una mujer secuestrada.

10/12/2015

"Piedra, papel o tijera" en Zona Negativa

piedra-papel-tijera-portada

Historietas desde Latinoamérica #76 – Piedra, Papel o Tijera

 
piedrapapelotijera  
Edición original: Piedra, Papel o Tijera (Mojito Colectivo Editorial).
Guión: Alejandro Farías.
Dibujo: Jozz.
Entintado: Jozz.
Formato: Rústica, 64 páginas.

 
El azar es uno de los elementos fundamentales de la vida, que en ocasiones (si no siempre) influye de manera determinante para que los hechos se den de una manera definida y no de otra. Sobre la base de un razonamiento de ese tipo, representado en el juego “piedra, papel o tijera” que le da título, se cuenta esta historia elaborada por el argentino Alejandro Farías y el brasilero Jozz que se reunieron para este trabajo con una cuota de azar, también, cómo no.
Este libro editado por Mojito (colectivo editorial uruguayo-argentino conformado por Grupo Belerofonte, Dragoncomics, Estuario y Loco Rabia) recopila en papel con una versión corregida y mejorada la historieta publicada en la plataforma digital Marche un Cuadrito! que presenta a un repartidor de pizzas que por confundir un piso se verá envuelto en una trama de suspenso con mucho más en juego que algunos pesos de propina o conocer alguna bella mujer que hizo el pedido.
Ese conflicto tiene que ver con el secuestro de la hija de un millonario que, por una serie de errores, coincidencias, acciones voluntarias e involuntarias, y por supuesto azar (del que decide el “piedra, papel o tijera” y el que no), tendrá impensadas ramificaciones. En el medio se involucrará mucho dinero, drogas, relaciones familiares y románticas, persecuciones y violencia.
La idea no es una que sea tan original y fácilmente pueden pensarse en otras historias que partan de una misma base, implicando a personas con su inocencia en eventos que los exceden por mucho. Pero Farías y Jozz tienen el mérito de elaborar esta idea con una gran capacidad narrativa, planteando un guión con cierta complejidad de una manera fácil de seguir y que resulta en una lectura entretenida y atrapante, gracias al ritmo de suspenso y acción intercalando debidamente momentos de calma, con gran precisión para y sensibilidad para colocar momentos de comedia más relajados y de tenso dramatismo.

piedra-papel-tijera-interior-01 piedra-papel-tijera-interior-02 piedra-papel-tijera-interior-03

A ello se suma a la manera de escribir los diálogos y de plantear las situaciones de Farías que se siente plenamente real, creíble, aportando al drama de la historia y a las sensaciones que genera en la lectura, y el dibujo de Jozz que en su trazo suelto se permite retratar con la misma calidad escenas de picaresca, de acción, de romance y hasta de ensueño generado por drogas, entre la caricatura, el realismo y lo onírico.
Con este buen trabajo conjunto de los autores, una historia que no destaca por su originalidad sí lo haga por entretener, divertir, conmover con su forma de contar lo que produce una serie de eventos azarosos que se producen para que un día más de trabajo para un joven repartidor de pizzas sea un momento determinante para su vida.
En definitiva, una historieta que consigue hacer mucho en su brevedad que apenas supera la cincuentena de páginas.
Guión - 8
Dibujo - 8.5
Interés - 8

8.2

Nací al mundo del cómic siendo muy chico con un viejo tomo recopilatorio de Ediciones Zinco de la Legión de Super-Héroes, que era el del crossover con Superman que contaba la historia del Superboy del Universo de Bolsillo y demás, una trama muy intrincada que no entendí del todo hasta varios años después. Aún así, fue una buena introducción al Universo DC y todas sus complejidades. Con los años, los gustos e intereses se esparcieron, haciendo que luego de un largo tiempo de hablar sobre DC Comics, hoy me ocupe de otros menesteres del enorme mundo del cómic.